Avec la régression de l’Algérie dans le classement international pour les libertés économiques (-Wall Street Journal du 25/01/2016-), l’Algérie a besoin d’une nouvelle politique pour favoriser la mise en œuvre d’un climat serein des affaires.
Par Dr Abderrahmane MEBTOUL, Professeur des Universités, expert international.
Face au constat négatif de la majorité des institutions internationales, le gouvernement algérien, loin des discours euphoriques de certains responsables économiques, contredisant la réalité, réagira t-il afin d’améliorer le climat des affaires? Certes, la révision constitutionnelle consacre plusieurs articles aux libertés économiques. Mais une Loi n’est qu’une loi, fut–elle la Constitution.
Le grand problème face à une bureaucratisation croissante et à la mentalité rentière sera l’application sur le terrain.
…